James Herbert est né le 8 avril 1943 à Londres. Avant de devenir le best-seller britannique de la terreur, il a été directeur artistique d’une grande agence de publicité. Il vit aujourd’hui à Brighton avec sa femme et ses filles, et se consacre pleinement à l’écriture. Au cours de sa carrière, il a exploré dans ses romans des thématiques souvent récurrentes : les catastrophes (Les Rats et Fog), les fantômes et autres phénomènes surnaturels (Le Survivant, Dis-moi qui tu hantes, Le Secret de Crickley Hall), le nazisme (La Lance) ou encore la réincarnation (Fluke, Le Jour où je suis mort)… « L’horreur est un genre qui vous permet d’aborder tant de choses : l’amour, l’humour, l’histoire et la violence », confie-t-il au quotidien anglais The Independent. « Je pense que nous avons tous une part d’ombre. Certaines personnes, comme les écrivains d’horreur, parviennent à atteindre cette sombre partie de leur personnalité et à en ramener quelque chose », précise-t-il à l’occasion d’une interview pour Evening Standard. Ses 21 ouvrages ont été traduits dans 35 langues (en Allemagne, Espagne, Russie, Grèce, Croatie, Hongrie, Japon, Thaïlande, Brésil…) et se sont vendus à plus de 50 millions d’exemplaires dans le monde ! Plusieurs sont devenus des classiques, souvent portés à l’écran, comme Deadly Eyes (Les Rats), Haunted (Dis-moi qui tu hantes), The Survivor (Le Survivant) ou Fluke.